Mercredi 10 juin 2009 à 20:59

Rien en toi n'est ordinaire. Rien en toi ne me laisse indifférente. Tu m'as tant étourdie, ma chérie.  Bébé, tu es si extraordinaire, mon coeur je te l'ai offert, tu l'as entre tes mains et il te serais si facile de le briser si tu le voulais. Je t'ai offert tout ce que j'avais de plus intime, à corps ouvert ma Douce. Tu es tout ce que j'ai du plus extraordinaire. J'ai fait certaines choses auparavant. Des choses qui aujourd'hui me pèsent mes DANS tes bras cela s'efface petit à petit. Les traces du passé sont douloureuses et lentes à disparaître, mais avec toi j'y arriverai. Quand je suis avec toi, je peux être moi-même. Mes peines et mes joies n'ont aucun secrets pour toi. Je n'ai jamais rencontré quelqu'un comme toi. Tu m'aides à relever la tête, petit à petit je me sens plus fière de moi, de ce que j'accomplis parce que tu es là. Je sors de ma coquille bien plus que si j'étais seule. 

Tu m'as apporté tant de choses en 2 ans de relation, tu es la seule à qui j'ai ouvert mon coeur en totale confiance et en totale sincérité. Je t'aime quand tu me fais pleurer, quand si je pleure pour toi, c'est que tu n'es pas la passagère que certains pensent. J'ai tellement eu peur que tu t'éloignes ces derniers temps, que je n'étais plus moi-même. Celle que tu as connue, celle qui a fait battre ton coeur de milles et un battement au premier baiser. Aujourd'hui j'ai ouvert les yeux et tu mérites mieux que celle que je deviens. Tout en moi réclame tes bras, chaque parcelle de ma peau réclame la tienne. J'ai tant besoin de toi. Je vais redevenir Moi. Toutes ces choses que j'ai pu faire et qui t'ont blessé me font honte. Toutes ces paroles lâchées en l'air me font honte. Je me fais souvent honte car toi tu t'accroches, tu supportes, tu ME supportes. Pardonnes-moi mon Amour.

Je sais que quand on va se retrouver vendredi prochain sur ce quai de gare, mon coeur va fondre comme un chocolat. Je sais que tout le trajet je vais m'inquiéter et me stresser car j'ai trop honte. Je sais qu'à Brive-La-Gaillarde mon coeur va manquer un battement sur deux et que à 21h50 à 4 minutes de nos retrouvailles, je me sentirais mal et bien. Une fois dans tes bras mon mal-être s'éclipsera comme des papillons qui s'enfuient à l'approche de l'humain trop curieux. A tes baisers je répondrais comme si ma vie en dépendait, ma vie en dépend.

Je t'aime. J'ai commencé ma valise, ça me donne l'impression d'être plus proche du départ que 9 jours. Il me tarde.

 

Ecrit par Playground.Love

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